Pour de nombreux futurs étudiants, la longue quête du graal de l’enseignement secondaire, alias le baccalauréat, pointe déjà son nez à l’horizon.
Et comme si la dose de stress importante que cela occasionne ne suffisait pas, voilà qu’il faut aussi déjà penser à la suite, se projeter dans un parcours d’études et du coup… dans une voie professionnelle !
Je tiens ici à rassurer les plus inquiets d’entre vous : non, tout le monde ne se réveille pas un jour à l’âge de 6 ans avec la certitude de vouloir devenir médecin, architecte ou encore entrepreneur.
Et c’est bien normal.
Lorsque l’on est au lycée, son horizon lointain est souvent très largement occupé par ce fameux examen du baccalauréat, occultant par la même occasion, toutes les possibilités et questions qui se trouvent après.
Par ailleurs, même si l’on a fait le choix d’enseignements spécialisés tournés vers certains métiers, force est de constater qu’à 17 ou 18 ans, on ne connait pas grand-chose aux possibilités offertes par le monde du travail, aux différents métiers qui existent, aux nombreux secteurs d’activité possibles.
La tentation première est souvent de suivre un chemin plus ou moins connu c.à.d. celui emprunté plus tôt par ses parents ou par ses frères. La seconde, toute aussi séduisante de prime abord, consiste à choisir le chemin le plus simple, le plus proche c.à.d. s’inscrire dans l’école ou l’université d’à côté, dans les parcours qu’elle propose.
Mais voilà, ce qui est un peu dommage, c’est que ces options peuvent aussi réduire de manière drastique votre champ des possibles. Par exemple – en dehors d’une passion particulière – faire le choix d’études supérieures en langues et civilisations parce que c’est le seul parcours possible sans avoir à déménager, c’est courir le risque important de ne pas s’épanouir, de rater son diplôme, et par conséquent, de faire des études pour rien, sans possibilité de passerelles.
Une perte d’énergie, de temps et nécessairement aussi d’argent. Malheureusement, l’amour de l’art n’est pas (encore ?) un argument d’employabilité.
La bonne nouvelle, c’est que contrairement à ce que l’on pourrait penser, tout ne se joue pas en première année d’études. Il existe des formations suffisamment larges ou générales pour repousser le choix de métier à plus tard, en visant une spécialisation en fin de premier cycle (troisième année) voire en deuxième cycle (niveau master).
Bien entendu, il faut tout de même dès le début procéder à un premier niveau d’orientation, car une formation si généraliste quelle soit en gestion ne permettra jamais de compenser des années d’études dans le domaine de la santé par exemple.
En somme, si vous êtes intéressé(e) par le monde de l’entreprise de manière générale, sans toutefois trop connaître les métiers ou encore les secteurs d’activité, vous pouvez choisir de démarrer un cursus de type Business School, qui vous permettra à plusieurs stades de votre formation, de faire des choix professionnalisants (finance, ressources humaines, communication, entrepreneuriat, spécialisation sur un secteur comme le luxe, le sport…).
Si vous êtes de prime abord intéressé(e) par les technologies et le digital de manière générale, vous pouvez choisir de démarrer un cursus de type école d’ingénierie informatique, qui lui aussi vous permettra à différents moments de choisir une voie spécifique (web, communication digitale, programmation, conseil en SI, etc.).
Pas d’inquiétude donc si votre choix de projet d’études reste flou à quelques mois du baccalauréat : la bonne orientation, ça peut être celle que l’on fera en deux temps – une fois mieux familiarisé avec les possibilités du marché du travail.
Au sein des écoles FIGS Education, il existe de nombreux programmes généralistes vous permettant d’approcher votre projet professionnel en plusieurs temps et de ne pas risquer de vous cloisonner dans votre parcours trop tôt.
Consultez notre site web pour les découvrir et n’hésitez pas à nous solliciter pour échanger sur votre projet et vos possibilités : nous sommes là pour vous !